Inspiré par l’Aston Martin V8 classique, qui a fait ses débuts aux côtés de l’agent secret 007 dans « Tuer n’est pas jouer » en 1987 et également une apparition dans le nouveau film aux côtés de la DB5, la Vantage 007 Edition est limitée à 100 exemplaires avec un tarif débutant à 161 000 £ (177 700 €) au Royaume-Uni.


Les spécificités du modèle sont la calandre avec une grille en maille de style rétro et un contour chromé ainsi que des inserts jaunes contrastant avec la peinture Gris Cumberland. L’habitacle présente un cuir noir obsidienne, des inserts en chrome foncé avec le célèbre « 007 » appliqué sur la console centrale et « 96 .60 » brodé sur les pare-soleil, faisant référence à la fréquence de la police russe utilisée par l'agent spécial dans la scène d'évasion du film de 1987.


Les skis et le porte-skis en édition limitée, disponibles en option, font également référence à la V8 du film de 1987 et ne présagent en rien du scénario du film de cette année.

La DBS de James

De son côté, l'Aston Martin DBS Superleggera 007 Edition présente les mêmes spécifications que celle présentée dans « No time to die ». Elle s’habille d’une robe gris céramique et se coiffe d’un toit en fibre de carbone peint en noir, à l’instar des coques de rétroviseurs, du diffuseur et de la lame aérodynamique. L’ensemble repose sur des jantes alliages à rayons en Y de 21 pouces.


Elle reçoit également le « 007 » en divers endroits, tels que la lame du spoiler arrière, les sièges ou encore les plaques de seuil de porte. Ce modèle s’échangera contre un minimum de 279 025 £ (307 900 €).