Kia Stinger, oui à l'Europe mais avec un diesel

Kia confirme que son grand coupé 4 portes Stinger dévoilé au salon de Detroit a un avenir européen. Cela passe dans un premier temps par l'utilisation d'une motorisation Diesel, le 2.2 CRDi 200 ch du Sorento pouvant faire l'affaire. Par la suite, des versions hybride rechargeable et électrique sont attendues.

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Berline basse ou coupé 4 portes selon le point de vue que l’on adopte, le résultat est le même : la Kia Stinger a fait sensation au salon de Detroit. Son architecture à propulsion, son style, son look et ses prétentions d’aller chasser du côté de BMW et Mercedes ne sont pas passés inaperçus, loin de là.
Sous le capot, États-Unis obligent, la Kia Stinger s’est affichée dans la capitale de l’automobile avec des motorisations essence. Pour rappel, il s’agit d’un 4 cylindres 2.0 litres turbo de 255 chevaux et d’un V6 3.3 litres biturbo de 365 ch. Mais, étant prévue pour l’Europe, il lui faudra s’adapter aux habitudes du vieux continent.
Cela passera par l’utilisation d’une motorisation Diesel. Albert Biermann, le patron de la branche Performance de Kia a confirmé à nos confrères britanniques d’Autocar que c’était bien prévu. A priori, le bloc qui sera utilisé est déjà connu. Il s’agit du 4 cylindres 2.2 litres CRDi 200 chevaux qui officie déjà sous le capot du Sorento et du Hyundai Santa Fe. Il sera associé à une transmission aux roues arrière (4x4 en option) et à une boîte automatique à 8 rapports. La présentation de cette Kia Stinger européenne à moteur Diesel est prévue pour début mars, au salon de Genève 2017.
Mais le Diesel ne fera pas tout et Kia a confirmé que l’architecture de la Stinger permettrait de la doter d’une motorisation hybride rechargeable, mais aussi, s’il le faut, d’une motorisation électrique. Dans ce cas, les batteries seraient stockées dans le tunnel de transmission, devenu inutile. À l’autre bout du spectre, on se met aussi à rêver d’une véritable version sportive...

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