Abarth 600e : 240 chevaux, vraiment de quoi galvaniser la route ?

Quoi de mieux pour fêter un exploit technique qu'un petit tour de roue fumante signé Abarth ? Et oui, la marque lève le voile sur sa nouvelle création électrisante, la 600e. Entre aperçus et teasers, ils nous invitent dans l'habitacle de ce SUV sportif qui promet de mettre ses 240 chevaux au service de l'adrénaline. Mais au fait, qu'est-ce que ça donne quand on passe de la théorie à la route ?

Retour en 1949, quand Abarth sortait de l'ombre de Cisitalia pour forger sa propre légende dans le tuning de Fiat. Aujourd'hui, 75 ans plus tard, intégrée au géant Stellantis, Abarth semble prête à électrifier ses ambitions. Après la séduisante 500e et son imitation vocale de la 595, voilà que déboule la 600e. Plus qu'un SUV, c'est un monstre de puissance qui s'annonce, prêt à détrôner tous ses prédécesseurs chez Abarth. Mais au-delà des chiffres, qu'a-t-elle vraiment sous le capot ?

On nous parle d'une bête à quatre roues motrices crachant 240 ch, partageant ses entrailles avec la Fiat 600e et flirtant génétiquement avec la Jeep Avenger. Alors, est-ce juste une Fiat sous stéroïdes ou un véritable fauve prêt à rugir ? Et ce différentiel à glissement limité, est-ce vraiment le secret de sa fougue ?

Quant au générateur de son, gimmick ou réelle prouesse technique ? L'intérieur, lui, promet une immersion totale avec son règne d'Alcantara, du volant aux sièges baquets. Un tableau de bord aux couleurs de la marque, des surpiqûres vert "flashy" et un écran de 10 pouces dédié à l'infodivertissement et à la télémétrie... Mais, est-ce suffisant pour nous faire oublier qu'on est au volant d'un bolide qui ne rugit pas, mais qui chuchote ?

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