La nouvelle venue repose sur le même châssis en aluminium que la GTB et reçoit donc le V6 de 3,0 litres hybride de 830 ch. La GTS est dotée d’un toit rigide rétractable qui peut être ouvert ou fermé en 14 secondes à des vitesses allant jusqu’à 45 km/h. L’ajout de poids demeure contenu avec une hausse de 70 kg par rapport au 1 470 kg de la GTB, ce qui ne modifie pas particulièrement les performances.


L’autonomie en mode 100 % électrique demeure inchangée avec 25 km au mieux et une capacité de rouler à 135 km/h sans une goutte de pétrole, tandis que le roadster demande à peine 0,3 seconde supplémentaire pour atteindre les 200 km/h qui sont couverts en 7,6 secondes. Le 0 à 100 km/h, pour sa part, demeure inchangé avec 2,9 secondes.


La 296 GTS peut être prise en « simple » cabriolet pour cruiser en bord de mer le coude à la portière. Mais pour les clients les plus sportifs, pour qui « découvrable » rime tout de même avec « sport », Ferrari propose – comme sur la version coupé GTB – une version Assetto Fiorano. Celle-ci apporte une plus grande utilisation de la fibre de carbone, des panneaux de portes légers qui réduisent le poids de 8 kg et des ailettes aérodynamiques sur le pare-chocs avant qui augmentent la force d’appui de 10 kg. Ferrari affirme qu’une GTS équipée de l’AF développe 360 kg d’appui à 240 km/h.