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L'écoconduite : voici comment faire des économies de carburant…

Ah, l'écoconduite, ce concept qui nous invite à caresser l'accélérateur comme un chaton et à choyer notre moteur tel un chef étoilé avec ses ingrédients précieux. Cependant, si l'idée de cette pratique verte semble faire son chemin, il semblerait que certains automobilistes français soient un peu perdus dans les méandres de cette nouvelle ère de conduite.

Selon l'enquête menée par Bridgestone en partenariat avec YouGov, la moitié des Français semblent avoir entendu parler de l'écoconduite. Pas mal, non ? Mais, regardons de plus près. C'est un peu comme un jeu des chaises musicales : 56 % des 35-44 ans trouvent leur place dans la ronde, tandis que seuls 41 % des conducteurs qui restent bien sagement sous la barre des 1 000 km par an décident de se joindre à la fête. Toutefois, il faut noter que 44 % des Français sont comme des touristes perdus dans une ville étrangère quand on leur parle d'écoconduite. Ils ne savent pas trop où ils sont, ni comment s'y rendre.

Malgré ces hésitations, 71 % des Français applaudissent l'idée d'introduire des cours d'écoconduite dans les programmes d'apprentissage du permis de conduire. Après tout, cela ne ferait pas de mal d'apprendre comment économiser du carburant et devenir les Jedi de la route.

Un peu de culture de l'écoconduite

L'économie d'essence, c'est un peu comme avoir un compte en banque bien rempli, non ? Réduire sa vitesse de 20 km/h sur l'autoroute, c'est la voie royale pour y parvenir. Pas moins de 67 % des Français savent que c'est la marche à suivre. Les sages du groupe, les plus de 55 ans, atteignent même un score de 71 %. On peut dire que le message passe plutôt bien.

De plus, 80 % des conducteurs, peu importe leur kilométrage annuel, ont intégré le fait que maintenir la pression des pneus à niveau est une aubaine pour le portefeuille. C'est comme si quelqu'un leur disait qu'ils pouvaient économiser de l'argent en fixant un peu mieux la boucle de leur ceinture. C'est bien de savoir comment économiser du carburant, mais maintenant, il faut passer à l'action.

Les bénéfices de l'écoconduite

On dirait bien que l'écoconduite est en train de se faire une place dans le cœur des Français. Plus de la moitié d'entre eux (52 % pour être précis) voient cette pratique comme une occasion de faire d'une pierre deux coups : économiser de l'argent tout en étant un peu plus gentil avec notre bonne vieille planète. Les retraités sont les champions de cette tendance, avec un éblouissant 62 % d'entre eux qui placent les économies de coûts en haut de leur liste de souhaits. C'est une évidence, plus vous vieillissez, plus vous devenez un as de l'économie.

Conseils pour une conduite eco-friendly

Mais comment fait-on pour devenir le roi de l'écoconduite ? Les conseils sont simples, mais comme dans toute chose, le diable se niche dans les détails. Modérer les accélérations, anticiper les ralentissements, avoir l'œil sur la pression des pneus et réduire sa vitesse sur autoroute sont autant de commandements à suivre pour les disciples de la route écolo.

Ainsi, pour réussir l'examen de l'écoconduite, il faudra :

- Modérer les accélérations et anticiper les ralentissements.
- Privilégier une conduite souple, passer les rapports rapidement, anticiper les obstacles et faire des économies de carburant grâce au frein moteur.
- Vérifier la pression des pneus mensuellement, car la consommation de carburant peut augmenter de 8 % si les pneus ne sont pas bien gonflés.
- Réduire la vitesse sur autoroute, en se maintenant à 20 km/h en dessous de la limite haute. Après tout, 10 km/h de moins, c'est jusqu'à 5 l de carburant en moins et une réduction de 12,5 % des émissions de CO2 sur 500 km. C'est du sérieux.
- Vérifier et ajuster le gonflage des pneus avant chaque trajet longue distance, en tenant compte de la pression recommandée par le constructeur.
- Démarrer à froid. Inutile de faire chauffer votre véhicule avant de démarrer.
- Arrêter le moteur dès que l'arrêt dépasse les 30 secondes.
- Avoir une pleine connaissance du label des pneus lors de leur acquisition, mesurant la performance des pneumatiques sur 3 critères : la consommation de carburant, la distance de freinage sur sol humide et les émissions sonores.

Conclusion:

L'écoconduite, ça roule... ?

En somme, l'écoconduite commence à se frayer un chemin sur nos routes, même si quelques conducteurs ont encore du mal à déchiffrer le mode d'emploi. Il est temps de mettre la pédale douce, de faire un petit pas de danse avec l'accélérateur et de tourner le volant dans la direction de la conduite économe. En fin de compte, adopter l'écoconduite, c'est comme trouver un trésor enfoui sous le tapis de votre voiture, à la fois bon pour votre porte-monnaie et pour la planète. En prime, vous pourrez éviter quelques accrochages. La route de l'écoconduite est semée de bonnes intentions et de bénéfices tangibles. Alors, que la fête commence, tout en restant à l'affût des économies à la pompe !


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