Tout commence par un silence. Pas celui des moteurs électriques que la rue apprend encore à reconnaître, mais celui d’un regard échangé entre initiés. Une voiture s’avance, pare-chocs lustré, signature lumineuse en lame de rasoir, et ce logo, fièrement plaqué sur une calandre noire, sans une once de chrome. Elle ne dit rien, mais elle sait. Elle est N°4. Pas "la DS 4 restylée", non. Ça, c’était avant. Désormais, on parle d’un numéro. Un vrai. Et dans cette société où tout le monde veut être quelqu’un, chez DS, on préfère être un chiffre.