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Ayvens, ex-ALD, franchit le demi-million de véhicules électriques (VE) en leasing

Ayvens, ex-ALD, se pavane sur la scène automobile en annonçant fièrement avoir atteint la barre du demi-million de véhicules électriques (VE) financés. Comme tout bon showman, Ayvens sait comment capter l'attention, mais disséquons ces chiffres pour voir s'ils résistent à un examen minutieux.

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Tout d'abord, examinons la déclaration selon laquelle la part des VE dans les nouvelles immatriculations de voitures particulières d'Ayvens a atteint 34 % au cours des 9 premiers mois de 2023, avec un pic à 37 % au 3e trimestre. Impressionnant, n'est-ce pas ? Pourtant, avant de célébrer cette prouesse, rappelons que cela se compare favorablement à un marché européen qui plafonne à 22 % sur la même période. En d'autres termes, Ayvens a réussi à faire mieux que le reste de l'Europe. Ou bien, est-ce que l'Europe a besoin de se mettre à la page ?

Il est également intéressant de noter que les VE à batterie et les hybrides rechargeables d'Ayvens représentent respectivement 21 % et 13 % de leur flotte de VE au cours de ces 9 mois. C'est certainement plus que ce que la moyenne du marché peut montrer. Vous savez, ces hybrides rechargeables sont comme des licornes rares dans le monde des VE. Nous applaudissons Ayvens pour son choix judicieux.

Mais ce n'est pas tout. Ayvens, en l'espace de neuf mois, a réussi à dépasser la flotte totale gérée conjointement par ALD Automotive et LeasePlan à la fin de 2022, qui s'élevait à 380 000 VE. On dirait que ces vétérans de la location automobile ont été détrônés par un challenger en herbe. Le secret de cette réussite fulgurante ? Qui sait, peut-être que le café était plus fort chez Ayvens.


Ayvens ne s'arrête pas là. Ils ont récemment dévoilé de nouveaux objectifs ambitieux dans le cadre de leur plan stratégique PowerUP 2026. Ils visent à atteindre la barre des 50 % de VE parmi leurs nouvelles immatriculations d'ici 2026, avec une répartition de 40 % pour les VE à batterie et 10 % pour les hybrides rechargeables. Vous avez bien lu, ils veulent prendre d'assaut le monde des VE. D'un autre côté, peut-être qu'ils savent quelque chose que nous ne savons pas sur la rareté des véhicules à moteur à combustion interne en 2026.

Mais ce n'est pas tout, Ayvens veut aussi quadrupler l'utilisation de leur service de mobilité électrique d'ici 2026, avec un objectif de 400 000 contrats. En d'autres termes, ils veulent faire de l'électrique un choix si simple que tout le monde finira par céder à la tentation. Peut-être que c'est le plan pour sauver la planète, ou peut-être que c'est le plan pour envahir le monde. Qui sait ?

Si ces chiffres ne sont pas suffisants pour impressionner, il y a aussi l'objectif de réduire leurs émissions de CO2 à moins de 90 g/km d'ici 2026, contre 112 g/km en 2022. C'est une belle promesse, mais est-ce que cela signifie que tous les autres acteurs du marché sont en train de gaspiller leurs émissions de CO2 ? Ayvens semble avoir découvert la recette secrète pour éliminer les émissions de CO2. Peut-être qu'ils devraient la partager avec le reste du monde.

Tim Albertsen, le directeur général du groupe Ayvens, a tenu à souligner que cette étape était la preuve de leur engagement en faveur de la mobilité durable. Ou peut-être que c'est simplement une occasion pour lui de faire des déclarations audacieuses devant les caméras.

Ayvens se targue d'un modèle commercial durable, avec des solutions vertes et des services de mobilité alternative. C'est bien, mais on dirait que tout le monde dit la même chose ces jours-ci. Est-ce que c'est la mode ou est-ce que c'est une véritable préoccupation environnementale ? La question reste ouverte.


Ils proposent également un programme solide pour accompagner leurs clients dans leur transition vers l'électrification. C'est bien, mais peut-être que c'est aussi un moyen de garder les clients sous leur emprise. Après tout, une fois que vous avez goûté à l'électrique, il est difficile de revenir en arrière.

Ayvens mise également sur un portefeuille croissant de VE d'occasion. L'idée est de vendre des VE d'occasion bien entretenus à des prix attractifs, sur plusieurs cycles de location. C'est une stratégie intelligente, mais peut-être aussi une manière de capitaliser sur la tendance actuelle à la réutilisation des VE. Rien de mal à cela, bien sûr, c'est simplement une observation.

Enfin, Ayvens s'est entouré de partenaires de plus en plus « verts » pour étendre sa présence sur le marché en pleine croissance des véhicules électriques. Ces partenariats visent à soutenir la transition énergétique, mais on se demande si ce n'est pas aussi une occasion de faire de bonnes affaires. Après tout, qui peut résister à la tentation de l'électrique ?

Conclusion:

Alors, Ayvens, le sauveur de la planète ou simplement un acteur malin qui a su flairer les opportunités du marché des VE ? Quoi qu'il en soit, leur succès fulgurant est indéniable, et il semble que l'avenir soit électrique, que ça nous plaise ou non. Ou peut-être que ce n'est qu'une question de mode, et que nous retournerons tous à nos bons vieux moteurs à combustion interne d'ici quelques années. En attendant, Ayvens continue de rouler sur la voie de l'électrification, avec une bonne dose de confiance et un zeste d'ambition. Et qui sait, peut-être qu'ils finiront par nous convaincre que l'avenir est vraiment électrique, ou peut-être qu'ils sont simplement les rois de la rhétorique électrique. Nous regardons avec intérêt leur prochaine performance sur la scène automobile électrique.


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