Il est six heures trente, un matin frais quelque part en Île-de-France. Les yeux picotent, les papilles crient injustice face à un café trop brûlant, et l’esprit se demande sérieusement pourquoi on a accepté de se lever si tôt pour aller tester un gros pick-up électrique. La promesse d’une escapade vers les montagnes de La Clusaz n’y change rien : le TGV matinal se transforme vite en expérience philosophique. À bord du train, la conversation s’anime pourtant autour d’une seule question : ce premier pick-up électrique Maxus eTERRON 9 mérite-t-il qu’on sacrifie quelques heures de sommeil et un éventuel croissant pas trop sec ?