Leasing Peugeot : LLD sans apport c'est bien mieux !

LLD sans apport : la promesse du « je roule, tu payes plus tard »

Le principe est aussi limpide qu’un tableau noir après une bonne pluie de craie : 49 mois de contrat, 40 000 km, et aucun chèque à signer en guise d’entrée. Juste une mensualité à régler, comme un abonnement Netflix, sauf que cette fois-ci, au lieu de binge-watcher des séries, vous filez sur l’autoroute A6 en 308.

Les tarifs annoncés par Peugeot sont alignés à la virgule près pour séduire l’élève moyen :

• 208 : 184 €/mois – soit moins qu’un forfait étudiant avec téléphone dernier cri.

• 2008 : 265 €/mois – le prix d’un panier bien rempli à l’inflation actuelle.

• 308 : 390 €/mois – à ce niveau, on touche aux crédits lecture pour ceux qui rêvent d’un break sans vraiment l’avouer.

• 408 & 3008 : 449 €/mois – comme si deux élèves de terminale partageaient le même casier.

• 5008 : 474 €/mois – la note un peu plus salée, mais avec sept places pour embarquer la moitié de l’équipe de foot du petit dernier.

Bref, Peugeot ne réinvente pas la roue, mais la propose au tarif d’un abonnement de salle de sport, avec en prime la possibilité de repartir sans se soucier d’un apport initial.

Peugeot Care Garantie : prolongation en option obligatoire

Enfin, pour rassurer les plus angoissés, Peugeot glisse une corde de rappel : le programme Peugeot Care Garantie. Jusqu’à 8 ans ou 160 000 km de tranquillité, soit le temps pour un élève de passer de la sixième à la fin du doctorat. La règle est simple : chaque fois que vous faites l’entretien dans le réseau, la garantie se prolonge automatiquement. Comme une mauvaise rédaction qui s’allonge parce que le professeur a décidé de rajouter deux pages de consignes.

La rentrée du Lion : l’appel de la cour de récré

Peugeot ne promet pas des miracles. Mais la marque sort ses calculettes pour transformer la rentrée en exercice de mathématiques appliquées : loyers mensuels étudiés, financement sans apport et une 208 Envy qui se la joue coquette sans vider la trousse. Les Français, déjà lestés par le prix des cartables, des cantines et des fournitures, verront peut-être là une façon de signer un contrat automobile sans avoir à casser le PEL.

Et après tout, qu’est-ce qu’une rentrée, sinon l’occasion de changer de cahier, de stylo… ou de voiture ?

Photos ©Fabien Legrand pour LRA